et il n'y a pas plusieurs vérités, les unes du mondes sur lesquelles le Pape devrait se taire, les autres divines et spirituelles, et qui pourraient coexister tout en se contredisant.
Ainsi est-il vrai que l'avortement est un crime, quoi qu'en disent les fausses vérités du monde et quand bien même elles plaisent au plus grand nombre et ont force de loi.
C'est donc à bon droit que le Pape, s'il ne gouverne pas les états souverains peut pourtant dire lesquelles de leurs lois et actions sont bonnes et lesquelles mauvaises, en regard du Décalogue et de la doctrine sociale de l'Eglise.
Le problème aujourd'hui dans l'exercice de ce droit du Pape, c'est que là où Léon XIII, Pie XI ou saint Jean-Paul II faisaient des encycliques longuement mûries et pourvues d'une autorité élevée qui ont permis de parler de doctrine sociale, François fait des tweets ou du prêchi-prêcha au kilomètre. Evidemment, on n'est pas obligé d'écouter tout ce qu'il raconte au quotidien, surtout si ça vient contredire l’enseignement social précédent (devoirs des étrangers, droits des Etats à assurer leur propre subsistance, par exemple) .
Je passe rapidement sur les mafieux dont les crimes n'auront jamais aucune excuse, quand bien même de trop nombreux clercs ont longtemps fermé les yeux et accepté, par crainte surtout on veut le croire, leur catholicisme de façade et de comédie, renforçant ainsi leur emprise sur la société locale par une apparence de respectabilité.
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