Bonsoir Aigle, et merci pour ces deux textes.

Le plus grand danger serait que le pape François préfère, à un courage et à une franchise non "inclusifs", une espèce de non assistance, iréniste, à Europe en danger, alors que l'Europe est menacée

- d'une part par le courant libéral-libertaire ou progressiste-postmoderne,

- d'autre part par l'immigrationisme et par l'islamisation,

- enfin, ici ou là, par une alliance entre le gauchisme culturel et l'intégrisme islamique.

Au moins depuis 2011, des menaces de guerre, y compris de guerre nucléaire, existent ; certains dirigeants effectifs des Etats-Unis veulent pouvoir en découdre, parce que, vous comprenez : elle dure vraiment depuis trop longtemps, cette crise, et il faut faire du "forçage de système" pour pouvoir organiser puis utiliser un "débouché" géopolitique et géostratégique qui permettra de faire en sorte que l'année 2019 ressemble à l'année 1939, pour ainsi dire.

Le pape en dit trop ou pas assez : il n'a qu'à dire, d'une manière compréhensible, qui menace qui de quoi, dans le monde d'aujourd'hui.

Mais il est possible qu'il en soit empêché, compte tenu d'au moins une partie des raisons, non intra-ecclésiales, pour lesquelles son prédécesseur a été fragilisé, afin et avant qu'il "prenne son paquetage", et pour lesquelles il lui a succédé.

Bonne soirée.

Scrutator.

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