la France est une Nation qui ne périra jamais par jejomau 2015-07-22 17:49:03 |
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concenrant votre point n°2, vous indiquez presque à regrets le fait qu'un évêque ait cité favorablement (et encore) le Marquis de la Franquerie. En réalité, non seulement le cardinal Lustiger l'a cité lors d'un discours pour noter la qualité de ses travaux , et je vous renvoie sur ce LIEN...... mais encore voici une liste un peu plus ocnséquente que votre unique Mgr Jouin :
Rome, 23 décembre 1926.
Le Cardinal Billot offre ses meilleurs remerciements à M. de la Franquerie pour l'hommage de son livre sur La Mission Divine de la France. On y trouve assurément beaucoup de belles pages, mais aucunes ne valent celles du dernier chapitre : Le plus grand des châtiments : la République.
ARCHEVECHE DE ROUEN
Rouen, le 24 septembre 1926,
Votre livre, La mission divine de la France n'est, suivant votre propre expression, qu'une ébauche. Comment épuiser en un court volume les immenses miséricordes et la complaisance de Dieu pour Son peuple ? En nous annonçant une oeuvre puissante, cette étude nous en donne l'avant-goût. A certaines heures de notre histoire, les signes de Dieu furent éclatants, s'ils se font plus rares aujourd’hui, nous n'oublions pas cependant les apparitions célèbres du XIXè siècle. Elles ont été des rappels de la vocation de la France. Notre mission continue, mais notre ingratitude envers le Seigneur, depuis la guerre, risque de la faire passer en d'autres mains. Votre livre ramène opportunément aux plus fécondes réflexions sur les desseins de la Providence à notre endroit et les conditions de notre grandeur nationale. Prenons conscience de notre glorieux destin,
Croyez, Monsieur, à mes félicitations et à mes sentiments dévoués.
ANDRÉ, Archevêque de Rouen.
ARCHEVECHE DE BESANÇON
Besançon, le 1er octobre 1926.
Monsieur de la Franquerie,
J'ai lu avec le plus vif intérêt votre beau livre La Mission Divine de la France.
Que Notre Seigneur Jésus-Christ ait fait de la France Son royaume, et de notre peuple, Son peuple de prédilection, il est difficile de le nier !
Je vous félicite donc de l'avoir prouvé surabondamment, et mis en relief saisissant, les gloires ou les abaissements de notre Nation, selon qu'elle s'est montrée, unie à ses Chefs, fidèle ou infidèle à sa mission, à sa vocation.
Veuillez agréer, Monsieur de La Franquerie, avec mes remerciements, l’assurance de mes respectueux sentiments,
LOUIS, Archevêque de Besançon.
Mgr. A. Baudrillart, de l'Académie Française, Évêque d'Himéria, recteur de l'Université Catholique, s'excuse de remercier si tardivement M. de la Franquerie de l'envoi de son ouvrage, arrivé pendant une de ses absences. Il le félicite de sa haute inspiration et de ce commentaire éloquent du Gesta Dei per Francos.
Paris, le 12 décembre 1926.
ÉVECHE DE MAURIENNE
Saint-Jean-de-Maurienne, le 30 septembre 1926.
J'ai reçu en effet l'ouvrage dont vous avez bien voulu me faire gracieux hommage. Merci de tout coeur. Je l'ai parcouru vivement et me suis laissé entraîner à le lire jusqu'au milieu. C'est vous dire l'intérêt qu'il m'a inspiré. Oui ! ce sont des idées vraies... Il me souvient les avoir exposées, dans les grandes lignes à Gênes, en une conférence donnée à la Jeunesse Universitaire catholique. C'était en mai 1914 ! Ces idées frappèrent l'auditoire et je me permis même d'annoncer la prochaine guerre (je ne la croyais pas imminente !!) et son résultat avec l'Italie revenue à sa Soeur Latine...
J'avoue que ce ne fut pas accepté de même façon. Je tins bon, avec l'affirmation très nette et catégorique de ma certitude du succès Latin... Je finis par en imposer à mon auditoire quelque peu turbulent. J'ai revu, je revois ces jeunes hommes depuis... et nous reprenons ce thème ! Hélas : l’Italie actuelle est plus loin de nom que l'Italie de 1914 ! Et il devrait, et si facilement il eût pu en être tout autrement. Pauvres gouvernants de notre France ! Reste l'avenir... Il est à Dieu : mais il faut y croire fermement et le préparer ; des ouvrages comme le vôtre y contribuent surtout si au lieu de la simple esquisse qu'il est, il devient un ouvrage plus important.
Merci de tout coeur et religieux sentiments.
Auguste GRUMEL, Évêque de Maurienne.
P.S. J'oubliais de vous féliciter d'avoir bien noté et fait ressortir la différence essentielle qui vous sépare du point de vue de Bainville, dont l'Histoire a quelque peu étonné nombre de catholiques et de prêtres. Pour nous, Français catholiques, il y a erreur historique à démarquer l'histoire de France en y voyant seulement une suite d'éléments humains, ce qui la rend absolument incompréhensible et inexplicable.
Le Puy, 17 novembre 1926.
L’Évêque du Puy-en-Velay vous remercie vivement de votre hommage.
Vous avez réuni dans un faisceau serré et lumineux toutes les gloires saines, parce que chrétiennes, de notre France. C'est une heureuse et féconde idée d'établir le parallèle des fidélités et des gloires de la France, des abandons et des humiliations de notre pays. Vous l'avez mis en relief avec une belle clarté, avec une conviction qui trahit vos nobles sentiments de chrétien et de patriote.
Avec ses plus chaleureuses félicitations.
NORBERT, Évêque du Puy-en-Velay.
ÉVECHE DE NIMES
Nîmes, le 23 octobre 1926.
Vous avez eu la délicate attention de m'envoyer votre ouvrage : La Mission Divine de la France, qui n'est, dites-vous qu'une ébauche et les premières pierres d'un plus bel édifice. Je vous remercie. Vos pages sont fortes et consolantes.
Les heures sombres que nous vivons risqueraient de nous faire douter de l'avenir de notre pays, si l'étude du passé, l'action visible de la Providence ne nous avertissait pas que nous avons des promesses de vie. Votre ouvrage apportera ce qui manque à l’histoire de France de Bainville. Les événements ont un fil conducteur que la belle intelligence de Bainville a cherché dans une évolution fatale, tandis que c'est Dieu qui le tient dans Sa main. Je vous félicite d'avoircomplété le grand historien et d'avoir écrit l'histoire d'une France Catholique d'une plume catholique.
Veuillez agréer, Cher Monsieur, l'assurance de mes sentiments dévoués.
JEAN, Évêque de Nîmes.
Versailles, le 3 avril 1928.
Cher Monsieur,
Je vous remercie de m'avoir fait remettre La Mission Divine de la France.
C'est avec la plus entière satisfaction que je le lis. Il mériterait d'être entre les mains de tous les vrais Français. Ils y verraient que, de par Dieu, le salut de la France est dans son retour à une Monarchie Chrétienne.
Veuillez croire, Cher Monsieur, à tout mon religieux dévouement.
CARON, Prélat de la Maison de Sa Sainteté, Ancien Supérieur du Petit Séminaire.
A ces lettres, nous tenons à associer le souvenir de S.G. Monseigneur Nègre, Archevêque de Tours, qui aimait à répandre notre étude. Il nous l'a bien souvent affirmé.
Nous n'oublions pas non plus l'intrépide Monseigneur Marty, Évêque de Montauban, qui, le jour même où il avait reçu ce petit livre, avant même de le lire, avait voulu immédiatement nous écrire: «Dès aujourd'hui, je veux vous envoyer mon affectueux merci avec mes voeux pour le plein succès de votre ouvrage». Tous deux nous témoignaient une très affectueuse bienveillance et nous honoraient de leur confiance. Ils ont été des guides très sûrs, un réconfort puissant et une lumière très vive pour notre âme au milieu de nos luttes pour la défense de la vérité totale, vérité qui unit dans un même amour Dieu, la France et le Roi.
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