de vous manifester mon désaccord sur un point précis.
Vous dites :
Pourquoi toute vérité n'est elle pas toujours bonne à dire...
Car il n'est peut-être pas le temps, car elle tomberait sur une terre où elle ne pourrait germer, ou ne prendrait pas racines.
et :
Alors si Monsieur Gollnisch semble avoir raison, son discours n'est pas prêt d'être entendu, et c'est pour cela qu'il n'arrive pas aux français, car ce qui comme lui disent certaines vérités les français ne sont point prêts à les entendre.
Quand, d'après vous, une vérité est-elle bonne à dire ?
Qui juge que le moment est venu ?
Qui estime que maintenant, les Français sont prêts à l'entendre ?
Vous ? Chacun d'entre nous ?
En ce cas, il n'y aura jamais d'accord entre les gens de bonne volonté, car ils auront tous des jugements différents sur le "bon moment"...
En revanche, la lumière doit-elle être mise sous le boisseau ?
Vous préférez vous taire actuellement, considérant que c'est peine perdue car les gens ne comprendront pas, intoxiqués qu'ils sont par le système et ses fabuleux pouvoirs.
Qu'une bonne partie de la population soit encore engluée dans le prêt-à-penser qu'on lui inculque à longueur de temps, ce n'est pas tout-à-fait faux, mais... Si la bonne parole est tue, elle sombrera dans l'oubli et finira par disparaître totalement !
Il faut qu'il y ait des personnes de bonne volonté, qui aient le courage de braver les interdits "politiquement corrects" et de parler sans peur, sans quoi les idées et principes exprimés auront eux-mêmes disparu !
Que comprenne un petit nombre, voire un tout petit nombre, peu importe !
Il ne nous appartient pas de décider du résultat, mais de prendre les moyens - et le courage, et il en faut aujourd'hui - de prêcher à temps et à contre-temps, en politique comme en matière religieuse, pour continuer à faire vivre ces idées, et pour que leur renaissance en soit facilitée le jour où les hommes seront à nouveau prêts.
Si Jean-Marie Le Pen n'avait pas conservé son franc-parler durant 40 ans, le mot même d'"immigration" serait peut-être aujourd'hui tabou et imprononçable...
Je crois au réveil français, qu'on sent poindre dans la société ; ce n'est pas encore un réveil total, loin s'en faut, mais je pense que ce frémissement est du en partie aux hommes de bonne volonté qui militent, chacun à leur façon - y compris politique - dans ce que j’appellerai "le bon sens".
C'est la raison pour laquelle j'applaudis des 2 mains des personnes comme Marie-Josèphe qui ont le courage de prendre des risques, de jouer un rôle public et de se lancer, pour que la "bonne parole" ne se perde pas ! Il y a plus de coups à prendre que de gains à encaisser dans ce jeu-là, et certainement pas mal de sacrifices à consentir...
Mes hommages, Madame !