Le père a le droit de faire ce que bon lui semble de l'argent qui lui reste après imposition : s'il l'utilise mal, il en sera redevable devant Dieu. Mais l'Etat a aussi le droit de prélever sur la somme initiale ce qui lui semble nécessaire au respect de la juste proportion des revenus, et à l'assistance au plus démunis.
L'exemple de l'avortement est l'un des rares exemples (en terme de montant) de très mauvaise utilisation de l'argent par l'Etat. On peut le citer en boucle ; mais cet argument n'a aucune valeur pour remettre en cause l'ensemble de la Sécurité sociale.
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