Précisément, je suis d’avis, comme ce pakistanais en exil, que c’est le cas de Mahomet. Dieu l’a déjà jugé, c’est entendu, mais de là à n’imaginer aucun motif suffisant pour empêcher son œuvre néfaste de se répandre, il y a de la marge. Du reste, au sens strict du terme, un autodafé s’en prenait davantage aux écrits qu’à l’écrivain, et je trouve cela logique : comme chacun d’entre nous, l’écrivain ne vit qu’un temps, alors que son œuvre reste accessible longtemps après sa mort.
V.
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