Bonjour Jean-Baptiste,
il serait pourtant si simple de demander à chacun de faire un effort pour s'approprier le vocabulaire "classique" des documents romains - et éventuellement d'en donner une brève explication - et puis d'écrire et de s'exprimer simplement lorsqu'il s'agit d'en adapter la forme à des situations particulières.
Au lieu de quoi, on produit du "blablabla" sasn profondeur dans lequel la vérité des propositions se trouve diluée dans l'approximatif et l'imprécis. Bref, ce langage n'est pas sans rappeler le "brillant" jargon des spécialistes de la pédagogie en milieu scolaire.
Si l'on envisage les choses sous l'angle de la seule transmission de connaissances, on est en droit de se demander quel peut être l'efficace d'une présentation à qui fait défaut une claire lisibilité. Je suppose que l'on finit par être habitué à la longue à ce genre de style, et qu'avec le temps on a plus besoin de "traduire"...
Plus sérieusement, on peut se demander qu'elle peut bien être la réelle utilité de ce langage... ce que signifie son emploi et sa persistence dans l'Eglise de France.
MdV
P.S. : intéressant, votre journal d'un paroissien - qui semble être également le journal d'un philosophe.
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