Ce détail n'a aucune importance, mais je garde un excellent souvenir de cet évêque du temps qu'il était encore secrétaire du cardinal ou travaillait à l'archevêché, et qu'il lui arrivait de dépanner le Père Joseph charles à l'hôpital Necker où je jouais de l'orgue.
Il m'est arrivé, un jour qu'il célébrait une messe que je n'accompagnais pas, une chose dont je garde, par contre, un cuisant souvenir.
J'étais venu assister à cette messe en compagnie d'une amie non baptisée.
Elle mord au message et le trouve fidèle à ce que je lui en avais dit, quand arrive le moment de la communion et que je dois lui expliquer en dix secondes qu'elle ne peut pas participer à son mouvement. .
J'aurais évidemment dû y penser avant, mais comment expliquer à quelqu'un qui vient pour la première fois assister à une messe, qui est séduit par ce qu'il y entend et qui voudrait communier qu'il ne peut pas?
Et au cas où la personne, par ignorance, en viendrait tout de même à communier, cette communion serait-elle sacrilège, ou la considérerait-on comme le premier pas dans son initiation chrétienne un peu bâclée?
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