J'ai un peu de mal à vous suivre.
Ok pour dire que la comparaison a ces limites mais elle reste utile pour ne pas trop dévier.
5. C'est pourquoi, peut-être à tort, je ne raisonnerai donc pas en termes de "déviance" ou de maladie", de pathologie affective, relationnelle, sentimentale, sexuelle, mais de désorientation de l'identité sexuelle de la personne, ce qui aura des conséquences sur la construction puis sur le devenir de la personne elle-même, ce qui peut expliquer, je ne dis pas justifier, les "allers-retours" dont parlait la psychanalyste que j'ai évoquée.
Au contraire je dirai que une désorientation de l'identité sexuelle est une pathologie affective. Car ce jeune homme est malheureux d'etre attiré par les hommes et non les femmes mais c'est en lui. Il y a une déviance de sa construction affective.
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