Je demandais des références, cher Monsieur, à ce que vous affirmiez :
Il n'y a donc pas de conditions de validité pour la matière du sacramental
Je ne les ai pas encore reçues.
Vous reprenez maintenant une autre partie de votre message auquel je ne répondais pas. Ce qui rend notre échange comme un dialogue de sourds :
Mais votre réaction à mon post, alors que l'exemple des rameaux était très clair, prouve que vous avez une conception du sacramental et du surnaturel qui s'apparente un peu au ritualisme juif.
L'exemple des rameaux est intéressant (c'est un grand classique), mais un exemple ou un contre-exemple n'est pas un argument en lui-même. Il est intéressant de voir comment l'Église elle-même (et non pas chacun à sa propre fantaisie) a légiféré sur l'usage d'autres branches que des palmes, pour la cérémonie du dimanche des Rameaux.
Je me permets de reprendre le contenu de ma réponse que vous avez ignorée :
Pour que des sacramentaux soient valides, il y a des règles plus ou moins strictes à respecter. Sans lesquelles, le sacramental ne serait pas valide.
Vous feignez de pouvoir les ignorer en traitant de pharisien ou Juif ceux qui ne vous suivent pas dans vos interprétations fantaisistes.
Tout le monde est d'accord pour que la bénédiction d'un cierge soit la bénédiction d'un cierge [...]
Je ne serai d'accord avec vous que si votre cierge correspond à ce que demande l'Église. Et ce n'est pas qu'une question de licéité. Dans les sacrements et les sacramentaux, c'est l'Église seule qui détermine les circonstances qui rendent la bénédiction réelle (valide).
Sinon, on se retrouverait au musée de la tradition où chacun arrange comme il peut : du moment que ça ressemble à la bonne époque.
Vous me pardonnerez, j'espère, de vous avoir répondu en toute franchise, un peu sous le choc, mais sans aucune animosité par ailleurs.
Amandus