...il faut quand même rester dans la limite de la valeur du "signe".
Et de la cohérence avec la prière de bénédiction.
Quand on bénit un cierge (ou une bougie, terme apparu en français au 13° s., et qui vient de Bougie/Bejaïa), il faut que l'objet ait une certaine ressemblance avec une bougie, un objet cylindrique composé d'une matière (rigide à froid) qui brûle au moyen d'une mèche en donnant de la lumière.
Une fois, j'avais été très ennuyé, ils avaient prévu des veilleuses (coupelle en plastique translucide avec une demi-sphère de cire de pétrole) pour la Chandeleur. J'ai dû faire preuve de souplesse et bénir tout cela, faute de cierges.
Par contre, je n'aime pas du tout l'utilisation de "chauffe-plats" (semblable à une veilleuse, très plate, avec une coupelle dans un métal très bon marché), qui n'ont pour but que de chauffer les plats. Là, le symbole de la lumière et de la joie est quand même assez absent !
Mais en temps de guerre, il faut savoir s'adapter...
Il y a pour certains sacramentaux des règles de validité. Par exemple, le scapulaire de N.D. du Mont Carmel doit être brun ou noir, en laine tissée (et non tricotée).
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !