... mais est évidemment relié à celui de la psychologie. Qui à mon sens, rejoint celui de la vertu médiévale, quand ce travail est réalisé dans une optique constructrice et non déconstructrice.

En revanche, et c'est là où les critiques fusent, il est vrai qu'il faut souvent passer par une phase de questionnement/remise en cause/victimisation dans les débuts de ce travail qui est parfois violente à entendre pour l'entourage, notamment familial. Cette phase est malheureusement indispensable avant le mieux-être, une mise à distance des douleurs et un lâcher prise.

Les addictions ne sont généralement que des compensations apparentes d'émotions enfouies bien au plus profond du corps, et donc souvent inconscientes. Libérer ces émotions permet généralement de diminuer les substances ingérées. Ça ne se fait pas en cinq minutes, mais avec des thérapeutes en psychologie et en corporel, on peut faire des miracles.

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