Beaucoup n'ont pas encore bien vu l'éléphant multicolore et qui barit à vous fracasser les tympans qui est au milieu de l'Occident : le sécularisme anti-chrétien comme religion civile de l'anti-christianisme, la nouvelle anti-religion civile qui est elle-même une "religion" dans ses formes.

Les "penseurs" pervers du Forum économique (sic) mondial exposent pourtant ouvertement leur "projet", clin d'oeil hexagonal, que ce soit K. Schwab ou son poulain Harari dans son livre-manifeste Homo Deus.

On se souviendra que l'art même au XIXe-premier XXe comporte une proportion importante d'oeuvres religieuses (dans tous les domaines).
La désacralisation active est devenue un outil de propagande au même titre que le reste comme le transgenrisme, les identités "fluides", les media sous contrôle et leur désinformation/mensonges/omissions constantes etc.

Je crois que la dimension blasphématoire, elle existe pour le croyant évidemment n'est PAS ce qui est recherché en premier par la propagartiste (cf. la vieille agit-prop des premiers léninistes au XXe siècle). Ce qui est visé est l'installation, la normalisation, d'une culture anti-chrétienne dominante : c'est plus Enver Hodja qui pensait avoir éradiqué la religion (chrétienne et musulmane) d'Albanie mais avec un procédé "libéral", d'imprégnation progressive qui s'intensifie, d'une culture alternative, celle de "Davos", de l'Homo Deus au sein d'un totalitarisme nouveau qui tend à contrôler l'univers. La plandémie et le vaxo-fascisme ont montré la gravité du projet criminel, de cette Matrix infernale.

"Vous ne posséderez rien et vous serez heureux" (Klaus Schwab, The Great Reset), rien, plus même votre autonomie individuelle soumise à l'intelligence artificielle et plus rien de votre âme qui aura été elle-même éradiquée.

Si quelqu'un doute encore du fait que Satan est bien le prince de ce monde et qu'il se déchaîne aujourd'hui, c'est qu'il/elle est sourd et aveugle.

Je ne suis pas sûr que les catacombes et le "masque" sur notre foi soient la meilleure réponse et à la question posée par le Christ aux apôtres qu'il faille ne rien répondre en égrenant son chapelet ou bredouiller quelques borborygmes en fuyant.
Matthieu 16, 13 à relire : la société nous renvoie à cette question à chaque instant.

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