A force de réagir à tout, on finit par faire des choses qui n'ont guère de sens. Exemple à Metz avec ses chapelets mensuels "en réparation de la messe du handball dans la cathédrale". Mais qui juge de la proportion de la réparation ? Combien de chapelets sont nécessaires pour "réparer" ?
Cette sur-réaction masque parfois le manque d'initiatives positives sur lesquelles on devrait au contraire insister. Un Jean-Michel Ribes adorait l'idée d'avoir la planète catho-intégroïde sur son dos pour assurer la promo de ses spectacles misérables et miséreux. Une telle publicité, c'était du pain béni pour lui. Il vaut mieux souvent laisser les morts enterrer leurs morts.
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