J'y ai communié.
Vous savez, en 1980 ou 1981 (je crois que c'était en 1981, le premier mars, selon mon agenda) les choses n'étaient pas aussi tranchées, et on était plus jeunes et pas aussi instruits. Pourquoi le nier ?
Le temps passant, la problématique de plus en plus pressante de certains sujets ne donnait, et aujourd'hui ne donne, plus aucun espace de manoeuvre. Aujourd'hui, cet espace est quasiment inexistant (sauf le cas d'une ignorance invincible, de bonne foi inattaquable, dont le Bon Dieu seul est juge, ces personnes existent, mais je ne peux pas, plus, être des leurs, je ne les juge pas).
(Hormis bien entendu, le danger de mort, qui enlève toutes les barrières entravant l'accès à un sacrement sûrement valide. C'est ainsi, ce n'était pas à Paris, qu'un prêtre de la FSSPX, le seul disponible étant debitus minister et ayant à sa disposition la matière adéquate (notre prêtre coutumier étant en voyage), a extrémisé, à ma demande, mon père mourant. Je lui en suis reconnaissant pour toujours ; ironie : il est aujourd'hui à la "Résistance".
C'était aussi l'époque où le père Michel (en religion Louis-Bertrand) Guérard des Lauriers O.P. (plus tard évêque in partibus conciliarium), que j'estime beaucoup, sans partager toutes ses idées (dont il ne faisait par ailleurs jamais un dogme), y prêchait en chaire. Cela n'a pas pu durer.
Aujourd'hui, il existe à Paris, d'autres espaces où communier.
Dieu merci.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !