en 1976.
Elle est dans sa logique aussi à lui, Enzo Bianchi, et je n'y vois pas un "fort soutien" en soi - c'est un fort soutien oui dans la conjoncture présente et de la part d'un exclus du néo-jésuitisme dominant - parce qu'il est simplement cohérent avec son propre libéralisme "canal historique" si je puis dire.
Bianchi reste libéral et ne prône pas la coexistence avec le traditionalisme du fait d'une herméneutique de réforme dans la continuité, parce que les éléments défendus par les traditionalistes sont sains et bons pour le peuple de Dieu, mais parce qu'il prône une "communion" à l'anglicane, tolérante envers tout le monde, même hors du christianisme.
L'ancien prieur de Bose rejette donc le libéralisme totalitaire qui prévaut aujourd'hui au dehors des Églises en Occident (sous la forme wokisme, cancel culture, vaxisme, russophobie etc.) et de plus en plus en leur sein. Il demeure un vrai libéral hostile à la dérive totalitaire et en cela, en plus du courage de la position, doit être salué.
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