En soulignant que « la liberté de conscience est absolue », le chef de l'Église catholique a observé : « Il s'agit avant tout d'engagements qui doivent être constamment mis en pratique afin que la liberté religieuse soit totale et non limitée à la liberté de culte. »
Dans son discours qui s'adressait également au corps diplomatique et aux autorités civiles et culturelles, François a également loué « l'immigration », l'un de ses thèmes favoris : « On admire une société composite, multiethnique et multireligieuse », apte à « surmonter le danger de l'isolement » où « plus de la moitié de la population résidente est étrangère ». « Une diversité non uniformisée, mais inclusive, représente le trésor de tout pays vraiment développé », a ponctué François face à « des populismes, des extrémismes et des impérialismes qui mettent en danger la sécurité de tous ».
Compte tenu de l'attitude du Saint-Père à l'égard des Tradis, on diagnostique à nouveau la schizophrénie pontificale et on doit également constater que la Sainte cité du Vatican ne compte pas parmi les pays développés.
Le Figaro
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