À combien de critiques du pape suis-je accepté dans votre coterie ?
Vous savez quoi penser, mais vous me demandez de pointer au bureau des pleureuses. Or je sais ce que je pense et je dis ce que je veux quand je veux, tout comme je ne dis pas ce que je ne veux pas dire. Ne pensez-vous pas ?
D'autre part, votre message se dégonfle de lui-même, précisément par votre plume.
En effet, vous avez remarqué que je ne m'exprime que ponctuellement (je pourrais le faire davantage, précisément pour ce genre de fil) pour prendre "la défense" du pape. Cela veut donc dire que je choisis ce que j'estime être défendable.
Qu'en déduisez-vous ?
Le bien ne fait pas de bruit et les soliloques numériques grincheux ne font pas de bien (et cassent les oreilles).
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