Rebonjour,
Pourquoi la rupture de tradition, tout d'abord ante-conciliaire (sur le plan intellectuel), ensuite intra-conciliaire, et enfin post-conciliaire, a-t-elle été considérée a priori comme étant féconde, ou comme devant quand même bien finir par le devenir, à long terme ?
Pourquoi un tel esprit de système, rénovophile et traditiophobe, a-t-il commencé puis continué à envahir la hiérarchie et l'institution ?
Comment une Eglise du Concile, devenue l'Eglise de François ou de l'inclusion, pourrait-elle avoir un avenir in Christo digne de ce nom, alors que l'avenir désiré par Francois pour cette Eglise est placé sous le signe de la sympathie gaudium-et-spiste, et non sous celui de la vigilance et de la résistance, dans la sainteté, face à l'esprit du monde ?
Autre question, abordée, en partie, par l'abbé de Tanouarn : où en sont les évêques d'aujourd'hui avec les fondamentaux de la foi catholique relatifs au péché originel, à la confession de la foi, à la confession des péchés, aux fins dernières et au salut personnel ?
En quoi leur pastorale est-elle propice à la connaissance et à la compréhension de ces fondamentaux, dans l'esprit et la vie des fidèles ?
Enfin, pourquoi un christianisme catholique qui ne serait presque plus qu'un accompagnateur humanitariste et sentimentaliste de la mondialisation et de la postmodernite convaincrait-il qui que ce soit, à commencer par les évêques chargés de le mettre en oeuvre ?
Bonne journée.
Scrutator.
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