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Ces redites permanentes du Saint-Père sur Son rôle, Sa place, Son devenir, Son pontificat, Ses vertus, Ses intentions, Son synode, Sa liturgie, Ses cardinaux sont bien éloignées du portrait admiratif qu'il peignait récemment de SS Jean-paul Ier :

«Derrière une apparence religieuse parfaite, peut se cacher la simple satisfaction de ses besoins, la recherche du prestige personnel, le désir d’avoir un rôle, de contrôler les choses, le désir de prendre la place et d’obtenir des privilèges, l’aspiration à recevoir la reconnaissance et ainsi de suite".

N'est ce pas là une description du Saint-Pire piteusement régnant ?

Au contraire, suivant l’exemple de Jésus, il a été un pasteur doux et humble», a souligné son successeur. «Il se considérait comme la poussière sur laquelle Dieu avait daigné écrire».

L'actuel occupant du Saint-Siège est bien loin de ces mœurs:

«Une Église au visage joyeux, au visage serein, au visage souriant, qui ne ferme jamais les portes, qui n’endurcit pas les cœurs, qui ne se plaint pas et qui ne nourrit pas de ressentiment, qui n’est pas en colère (…) ni intolérante, qui ne se présente pas de manière hargneuse, qui ne souffre pas de nostalgie du passé en tombant dans le retour en arrière».




N'est-ce pas là le visage joyeux, serein, souriant de l'église de SS François?

Ses colères, sa hargne, sont bien connues, quelquefois même coram publico.

les Tradis ont pu mesurer l'ouverture des portes pratiquée par le Saint-Père comme sa tolérance: les messes célébrées devant des portes closes d'églises vides en sont la meilleure preuve.

Enfin sa volonté de revenir aux années soixante-dix et de ressusciter la "chasse au latin" sont bien le signe d'une nostalgie dévorante d'une époque révolue et de son désir d'y revenir.

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