... est un peu l'apanage, très déplorable, et nocif, pour la cause de la Liturgie, même si certains s'en enorgueillissent, du Tradiland depuis 1970, comme j'ai pu le remarquer dans une vie "tradie" déjà assez longue, apanage chéri à tort, un peu par mégarde ou parfois méprise, ou pire méconnaissance, surtout chez les plus jeunes, n'ayant plus connu le "bon vieux temps" (toujours plus reculé il est vrai) et n'ayant pas pu ou voulu prendre connaissance de la romanità, par défaut très souvent d'une connaissance suffisante du latin, langue des sources liturgiques non manipulées, telle qu'elles sont exprimées par les décrets authentiques, p.ex. (en ligne ! pour qui veut les lire), et les bons manuels y afférant, sans faire de concession à des idiosyncrasies (je sais, c'est un anglicisme, mais le mot est déjà chez M. Littré, je veux dire: subjectivités morbides) diocésaines ou autres tropismes de Province.
Car la liturgie et son maniement sont comme une science exacte, éminemment objective; ou rien n'est laissé à l'hasard et au tempérament de l'individu, même doué.
Mais vous trouverez des personnes pour vous dire que le mouvement tradi, au moins en France, et qu'y a-t-il finalement en dehors de la France, je vous le demande, si ce n'est Massa et Meriba ? est né dans la brousse centrafricaine, excusez du peu, où il n'y avait, nous dit-on de source sûre, ni barrette, ni manteletto, ni grémial, ni soutane de choeur à queue, ni je sais d'autre encore ...
Comme si la brousse africaine affranchirait le cas échéant, dans le domaine profane, du port du dinner jacket, en blanc, s'entend, avec papillon (je conserve le costume de mon père, qui hélas ne me va pas), ou du port de la cravate, selon les circonstances, ou du chapeau, des chaussures à boucles, ou, pour les dames, de la robe de soirée ...
Enfin ...
je vous souhaite de belles découvertes, grâce à l'expertise d'Alexandre, des propres diocésains français !