dans votre nouveau message où je constate avec plaisir une belle palinodie, puisque vous n'y employez plus le mot de ‘profanation’ présent dans le titre de votre précédent message.
Cette profanation est, de manière extrême, ce qui se passe tous les dimanches
Ce qui m'amène à penser que vous avez parfaitement repéré où se situe le caractère odieux de votre premier message. Il est en effet odieux d'affirmer que, tous les dimanches, à la messe, ont lieu des profanations. Et si vous le comprenez pas, je ne peux rien pour vous. Comme le disait Aristote, vouloir démontrer l'existence de la nature à qui ne perçoit pas son évidence, c'est tout simplement risible et ridicule.
Et il est stupide de prolonger un fil où est discuté un cas gravissime de profanation en enchaînant sur de prétendues profanations régulières lors des messes dominicales. Là n'était pas le propos et les deux cas ne sont pas sur le même plan. Ici encore, si vous ne le saisissez pas, je ne puis rien pour vous, désolé.
Il aurait été bien mieux venu, à mon humble avis, de louer – par exemple – l'attitude de ce prêtre qui a agi avec toute la dignité requise.
Pour ce qui est des intentions ou des responsabilités de ceux qui ont introduit la pratique de la communion dans la main, je n'en sais strictement, mais strictement rien. Je laisse le soin d'en juger à Celui qui sonde les reins et les cœurs. Peut-être serez-vous, l'Heure venue, fort surpris de son jugement… Qui sait?
Dernier point enfin. Me suis-je senti visé? Aucunement, rassurez-vous. J'ai reçu la communion dans la main pendant des décennies, mais je suis revenu à la communion sur les lèvres il y a 7-8 ans, sous l'influence d'un de mes enfants. Retour qui, dois-je préciser, n'est nullement lié au prétendu problème signalé par NLC.
Cordialement.
Pacem tuam da nobis, Domine