Nos contemporains sont incapables de comprendre la vie, les comportements et les valeurs des générations qui ont précédé la révolution culturelle et sociétale des années 60.
Les instituteurs donnaient des coups de règles sur les doigts des enfants, les enfants étaient corrigés physiquement par leurs parents et tous ceux qui avaient autorité sur eux.
Dans le milieu professionnel, le chef était omnipotent et ceux qui contestaient son autorité étaient balayés.
On ne tolérait pas le centième de ce qui est toléré aujourd'hui en terme de déviance morale.
C'était un autre monde.
Il ne s'agit pas de nier que des abus aient pu exister, mais nous n'avons plus la clef d'inteprétation qui permettrait d'apprécier objectivement les faits qui sont relatés. Sans compter que seule l'accusation est autorisée à s'exprimer, les autres protagonistes, tous disparus, ne peuvent pas se justifier.
Peut-on prendre pour argent comptant le jugement de prisonniers sur leurs surveillants ? Parce que c'était plus ou moins le type de relations que ces femmes entretenaient avec les religieuses dans ces établissements.
N'a-t-on pas le droit de s'interroger sur l'objectivité des jugements de ces deux femmes et sur leur manière de présenter les faits ?
La méthode préférée de la subversion à toujours consisté à monter en épingle des dérapages singuliers pour les présenter comme une règle générale afin de disqualifier les tenants de "l'insupportable ordre moral".
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