Votre message est illisible dans sa mise en page (anarchique et mal fagotée). Et cela ne fait pas sérieux.

Je ne connais pas bien, mais pas bien du tout les Focolari et par tempérament je me méfie de tout mouvement... d'Eglise.

Je sais que bien des évêques italiens et Jean-Paul II soutiennent.

Encore plus quand des laïcs ont la main et s'emparent d'abbayes désertées par les moines, sachant que je me méfie aussi de certains aumôniers !

Il y a des mouvements tradis ou para-tradis d'origine brésilienne ou des chevaliers de je ne sais quoi, qui ne valent pas mieux dans leur côté grégaire ou sectaire. Les chevaliers de St-Lazare qui font la discipline dans la cathédrale d'Orléans relèvent de je ne sais qui, je ne sais quoi. D'une scission au sein de l'ordre qu'un historien ne peut regarder que d'un air goguenard (mais deux évêques d'Orléans et d'autres sont tombés dans le panneau, preuve de leur manque d'esprit critique).

La Croix 2020

Je n'aime pas non plus les séances de thérapie de groupe, présidées ou non par un évêque.

Mais Ouest France rend compte de témoignages éloquents qui m'imposent le respect. Partout, partout, partout, les enfants et jeunes gens vus comme un stock de chair fraîche par des catholiques, parmi lesquels de nombreux clercs, dont la vocation était de protéger l'innocence et de soigner les âmes. J'invite aussi à lire des livres très honnêtes sur des hommes, restés pour certains catholiques, aujourd'hui retraités, qui racontent leur petit-séminaire. Leur témoignage n'est pas seulement reconstruit. C'est aussi pertinent qu'un roman de Cesbron. Et "Les amitiés particulières" de Peyrefitte ne sont rien d'autre qu'un roman sur une enfance dans les collèges des bons pères où l'homosexualité très jeune était entretenue et même conditionnée. Les déplacements de prêtres déviants, les non-dits... Peyrefitte cite de manière très pointue la liturgie ancienne et les confessions dans les bureaux de prêtre, qui est une pratique qui a la vie longue. Je me doute bien que ce livre fut mis à l'index, j'imagine. M'en moque. Peyrefitte avait raison, outre le fait qu'il s'agit d'un roman !

Ouest France

Comme Nemo l'a écrit récemment, on peut persécuter du Tradi au nom de je ne sais quelle lecture talismanique du dernier concile, mais laisser tout cela faire, laisser des diacres sans grande formation ou des veufs revivre avec une femme, distribuer la communion par des mains laïques (point essentiel dont tout le monde se f... dans le NOM).

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