Le Saint Père, si glorieusement régnant, a jugé nécessaire, pour promouvoir l’unité de notre Sainte Mère l’Eglise, d’annuler les dispositions de ses prédécesseurs de bienheureuse ou sainte mémoire relatives à la célébration de la messe dans les formes antérieures au sacrosaint second concile du Vatican.
Cette mesure apparaissait nécessaire.
La persistance de telles célébrations était, en effet, incompatible avec la compréhension majoritaire dudit concile : il est venu abolir les Eglises constantinienne, grégorienne et tridentine et établir la seule église conciliaire libre de tout passé comme du poids de traditions dépassées.
Qu’importe, en effet, que cinq siècles de pontifes aient condamné les erreurs de Luther puisque François l’accueille au Vatican ; qu’importe que les apôtres et des docteurs aient sans cesse affirmé la nécessité d’être en état de grâce pour accéder au Saint Sacrement puisque François affirme qu’il ne s’agit pas d’une récompense mais d’un médicament ; qu’importe que l’église d’Allemagne prenne le chemin de l’hérésie et du schisme puisque ce chemin est synodal comme le demande François ; qu’importe que Notre Seigneur lui-même ait condamné le divorce et l’adultère puisque François l’autorise ; qu’importe que Dieu ait condamné d’idolâtrie, puisque François élève la Pachamama à la Gloire des autels.

Il faut, en effet, n'être qu'une personnalité rigide qui se prétend - indument - catholique, pour oser critiquer cet acte de pure charité exempt de tout cléricalisme, et ne pas adhérer entièrement à toutes les décisions de Rome qui n'est et ne peut être que la Sainte Eglise enfin heureusement révélée au peuple chrétien et au monde après 1932 ans d'erreurs et d'obscurantisme!

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