et de ses vins jurassiens bien agréables.
Ce catholique libéral et néo-gallican, très inféodé à Napoléon III, était d'une grande austérité de vie.

Il est indéniable qu'il y a eu dans la terrible répression versaillaise des "victimes" innocentes qui n'avaient pas porté les armes contre l'armée et les autorités.

Mais il y a eu parmi les Communards (et nardes) des assassins et des crapules. La béatification collective est indue.

Les otages fusillés par la Commune (certains chefs en ont pris l'initiative) étaient eux, peu nombreux, mais tous innocents de fait de tout crime ou délit en dehors du "délit" d'opinion et de foi catholique.
Thiers a aussi refusé des échanges qui avaient été proposés en amont. La manoeuvre politicienne n'est jamais absente chez cet homme politique à la longue carrière (il est connu dès Charles X) et fort retors.

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