Ce curé a des enfants avec sa femme !
Vous faites semblant de ne pas comprendre.

Et j'imagine que ces enfants syriens sont élevés dans le calme et la grand respect des lieux. Je n'ai pas demandé si les enfants débarquaient à la messe dès leurs premières semaines et encore à deux ans.

Mais ces enfants de prêtres catholiques ne sont pas des sauvages et évidemment sont très bien élevés.

Je connais des enfants de popes en Europe de l'Est, qui sont aussi très bien élevés et qui sont fiers de leur père, qui, dans les villages, est encore très respecté comme autrefois nos curés.

En 2020, des prêtres mariés catholiques sont par-faits et dignes du plus grand respect. Il y a aussi les maronites et d'autres encore.

Je n'ai rien dit contre le célibat, évidemment. Mais il faudrait, pour raisonner en catholique, avoir devant les yeux tous les cas possibles dans l'Histoire et à la surface de la Terre.
Le célibat des desservants d'églises se diffuse en France péniblement au cours du XIIe siècle seulement. On ne parle de curés qu'au XIIIe s. et, comme vous avez lu l'histoire des curés dirigée par N. Lemaitre et la dernière partie, excellente, vous conviendrez que le curé est mort aujourd'hui en France, faute de troupes et faute du respect des limites paroissiales.

Un prêtre qui dessert 60 villages ne peut plus conduire les âmes du berceau à la tombe. Et quand des laïcs ont la responsabilité de paroisses... Les chapelains d'églises ou chapelles traditionnelles ne sont pas non plus des curés à proprement parler. C'est autre chose. Ils ont un peu des prélats nullius, en lévitation et en vie parallèle du diocèse. Ils n'en sont pas moins respectables. Les tradis, dont je suis si l'on veut, font leur vie religieuse et ecclésiale à la carte. Je donne au denier à un tout autre diocèse que celui de mon domicile.

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