Si le Bon Dieu permet les épreuves c’est pour qu’il en ressorte un plus grand bien. Aujourd’hui un virus se répand par les gouttelettes de salives. Les autorités pour ralentir la diffusion restreignent la liberté des réunions pouvant donner lieu à des contaminations par ce biais. Que la Sainte Communion soit distribuée aux fidèles directement sur la langue ou dans la main le risque n’est pas nul.
Maintenant si le Bon Dieu permet une telle épreuve pour les croyants que nous sommes nous pouvons nous demander si ce n’est pas pour que nous méditions sur ce Don immense.
La communion fréquente est récente (Saint Pie X) auparavant les catholiques ne communiaient souvent que trois fois par an (comme Sainte Jeanne d’Arc le dit lors de son procès).
En tant que catholique sensible à la dimension sacrificielle de la Sainte Messe nous ne pouvons nier que la communion fréquente et facilité par la nouvelle liturgie a rendu les communions sacrilèges légions. Qui n’a pas été à une cérémonie de première communion, un mariage ou un enterrement et vu des gens non pratiquants (donc ne se confessant pas) voir même pêcheurs publiques s’approchant de la Sainte Table sans aucun scrupule.
Nos pasteurs pourraient peut-être profiter de cette épreuve pour donner plus d’importance à la Communion Spirituelle.
Si la Sainte Messe n’est plus le lieux où les gens peuvent se contaminer lors de la communion alors cela devient un lieu de rassemblement comme l’école par exemple, donc la liberté de culte devient plus facile à réclamer.
Et pour ceux qui voudraient absolument communier physiquement, rien ne les empêche de prendre rendez-vous avec leur abbé pour se confesser et communier
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