Comme vous Vianney, j'ai remarqué cette énormité :
Je persiste à penser qu'un enfant le plus souvent dans sa maison avec papa-maman souffrira un jour ou l'autre (et les parents, donc !).
On se souvient que Mme Rossignol déclarait à la télévision que les enfants n'appartiennent pas à leurs parents, et que M. Peillon exhortait la République à arracher ces mêmes enfants aux déterminismes familiaux, culturels et religieux. Apparemment, notre contradicteur pense aussi qu'un enfant est malheureux en famille et que son sort est plus enviable quand il est pris en main par l'État. C'est exactement ce que dénonce le Pape Pie XI dans son encyclique, mais il faut croire que nous vivons une époque formidable où des
catholiques pensent comme des socialistes.
Ce que vous dîtes à propos de cet inspecteur qui vous encourageait à persévérer dans votre choix est tout à fait véridique car je connais personnellement deux inspecteurs (l'une IEN et l'autre IAIPR) qui pensent et disent la même chose aux familles qui font l'enseignement à la maison. Certains responsables de l'EN (pas tous, il s'en faut de beaucoup !) se rendent compte du désastre et sont contents de voir des enfants épanouis et instruits, vivant dans des familles unies et joyeuses qui ont fait ce choix, cette aventure, de l'école à la maison.
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