Vous semblez avoir certaines souffrances intérieures qui m'inspirent une sincère compassion et qui expliquent sans doute cette tension effectivement hystérique dont vous nous donnez l'aperçu en chacun de vos messages.
Pour votre gouverne, vos bribes de grec mal assimilées, que vous invoquez comme si vous étiez le dernier helléniste sur terre, vous égarent quelque peu. Selon le Centre National des Ressources Textuelles est hystérique « celui ou celle qui est très nerveux, très exalté ». On peut être un homme et hystérique, à moins de ne prendre ce terme que dans son sens originel, ce que les stylisticiens appellent un étymologisme, mais qui est parfaitement grandiloquent et donc ridicule en la circonstance.
Identiquement, l'ambivalence d'un féminisme misogyne (toujours l'incohérence chez vous) qui paraît vous travailler vous égare de la même manière. Vous réduisez l'hystérie aux femmes, mais vous vous offusquez de l'expression prérogatives paternelles, comme si les mères étaient exclues de mon propos. Faut-il s'adresser en écriture inclusive pour ne pas froisser votre susceptibilité non genrée ? J'écris ainsi reprenant le propos du Léon XIII qui affirme que « le pouvoir du père est de telle nature qu'il ne peut être ni supprimé ni absorbé par l'Etat, parce qu'il a avec la vie humaine elle-même un principe commun ». C'est à cette citation que je faisais référence, donnée dans un précédent message.
Quant à l'étalage de votre biographie, je vous signale que je saute tous les passages en question, non seulement à cause de leur longueur mais aussi de leur insignifiance. Si vous pouviez vous concentrer sur le sujet et répondre aux arguments, cela faciliterait la lecture et le dialogue.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !