on entend bien souvent dans les chapelles ou églises de la mouvance VOM, et pendant les messes ou offices, la prière de s.Ignace : "Ame du Christ" dans la composition du P. Gelineau...

Il est vrai que, depuis, il y a eu le P. Gouzes, les gouzeux et gouzeuses et les gouzeries... et le pire est toujours à venir...

L'imprégnation par les cantiques vernaculaires semble irrépressible, voire incurable...

Quant s'en tiendra -t- on au principe " nil augens nil minuens"...?

Qui permet d'intégrer "ad libitum" au service musical des messes le chant de l'ordinaire polyphonique -le répertoire est immense- et les compositions musicales sur les textes des pièces du propre du jour, et l'intervention de l'orgue. Celui-ci n'est pas par nature un instrument d'accompagnement, ni un comble-vide. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, il alternait verset à verset avec la schola ou la foule dans le chant de l'ordinaire (Kyrie, Gloria, Sanctus Agnus) intervenait à l'entrée du célébrant et ministres, après l'offeroire, pendant l'élévation et la communion et pendant la sortie des officiants.

La surcharge des offices liturgiques par des cantiques destinés aux patronages ou aux catéchismes est une calamité, la décadence du chant d'église en général trouve là son origine.

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