avec un article en ligne que l'on peut lire intégralement, alors que l'usage est de ne livrer que le début.
Cet après-midi, c'était même sa photo qui faisait la Une du site internet du journal !
On croirait un article de l'Humanité.
Morceau choisi : "En 1971, Gisèle Halimi est l’une des « 343 salopes » qui déclarent publiquement avoir avorté. La même année, elle fonde « Choisir la cause des femmes », association féministe très influente dans les années 1970. « Gisèle Halimi est un personnage historique, une figure féministe de premier plan, intelligente et tenace, témoigne Bibia Pavard, historienne spécialisée en histoire du genre. Elle a fait de sa vie un engagement au service des droits des femmes. Mais elle a choisi de le faire par l’intermédiaire du droit. »
Le droit-le droit-le droit.
Le genre-le genre-le genre.
J'espère qu'on lit ce genre d'articles dans les réfectoires religieux et dans les séminaires.
J'espère que toutes "les" femmes ne se retrouvent pas en cette dame, même si "les" femmes de La Croix ont dû verser leur quota de larmes.
Quand meurt une femme catholique, de la plus obscure mère de famille nombreuse abandonnée par son mari à la carmélite centenaire, ce journal, qui a des gages à donner à la bien-pensance la plus hostile à l'enseignement de l'Eglise, n'en fait pas des tonnes.
La dame coche toutes les cases : hostile à la colonisation, socialiste, pro-IVG, femme. Rien n'est dit de la religion du père qui voulait la marier de force, curieux.
On ne peut pas pondre cet article et en même temps soutenir le droit à la vie pour les enfants à naître.
La Croix aura moins de détachement et d'émotion dans la plume quand tel homme politique d'origine morbihanaise mourra, par exemple.
Avec la mort du P. Moingt, c'est un jour bien triste à La Croix.
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