Centenaire, parce que vieux c... ?
J'assume !

Je suis dans ma 44e année…

Je dis souvent à des jeunes gens : à bas les jeunes !
Cela a au moins le mérite de les faire réfléchir, car ils sont tellement habitués à avoir des adultes qui les flattent et qui assimilent la jeunesse au génie…

Mes enfants sont persuadés qu'ils peuvent être parfaitement heureux à parler à un prêtre nonagénaire (et ils ont connu et ils connaissent encore…), qu'à un prêtre de 30 ans avec un ordinateur et son téléphone sans fil...

L'Université et le CNRS travaillent plus sur les maîtrises et la musique religieuse que le monde traditionnel et le clergé canal historique. C'est tout de même un comble.
J'écoute beaucoup de musique sacrée et ancienne, mais je ne suis pas du tout musicien, ce qui me manque horriblement.

Le vrai tradi doit honnir l'oratorio et les œuvres des auteurs protestants...
Ce en quoi il a tort.

Je souffre presque toujours dans le NOM à cause des chants, mais aussi dans le VOM quand le grégorien tyrannise ou traîne à n'en plus finir.

Je suis bien plus admiratif de St-Eugène, de St-Patern de Vannes et des maîtrises anglicanes (ils ont de la gueule et les tapis sont propres, cela ne sent pas la mort, comme dans presque toutes nos églises qui ressemblent à des musées municipaux et des cabinets de curiosité).

Je lis un bouquin accablant sur le comte de Paris, rédigé par l'un de ses fils. Ô fou du roy... Le duc d'Orléans décrit les moines tortionnaires de la Pierre qui Vire dans les années 50. Des salops et j'avais déjà entendu d'autres témoignages. Le concile n'était encore pas là...

Plorate

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