Avec les nouvelles mesures les prêtres ne confessent plus, du moins dans mon quartier parisien.
De plus nous sommes arrivés à une situation où il y a danger de mort donc les deux derniers codes de droit canon assouplissent la forme permettant de donner le sacrement.
Je me pose un certain nombre de question, tout en sachant que c'est l'autorité suprême qui est maîtresse en l'occurrence.
On peut être dispensé de l'aveu des péchés en cas d'urgence. L'absolution collective peut être donnée. Il faut qu'il y ait engagement du pénitent à recourir à la forme ordinaire du sacrement dès que la nécessité cesse.
Mais l'Eglise pourrait-elle dans les circonstances que l'on risque de connaître, pour une durée absolument limitée, et vu les progrès de la technologie autoriser et valider des confessions par téléphone ?
Il y avait autrefois certains endroits dans des églises où des propriétés acoustiques particulières permettaient au confesseur d'écouter des confessions à une distance importante sans que la conversation puisse être entendue ailleurs.
Une absolution collective pourrait-elle être donnée sur le parvis des églises ?
En ce temps de carême se préparer à Pâques, faire des efforts tout en portant en soi les blessures des péchés anciens est une souffrance.
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