dans les rouages en m'adressant cordialement à un liseur que je ne connais ni des lèvres ni des dents (Kommandantur s'abstenir de me corriger).
J'avais dû lire hier le blog de la doctoresse de l'Eglise de France, sur le conseil d'un ami assez pervers (il voulait savoir si je lisais le même tête à queue que lui au sujet des crèches dans les rues et s'il était encore bien question d'un hymne aux clandestins dans les rues de Paris de la part de La Croix qui doit bien avoir des locaux disponibles...). Je lis cette chose une fois l'an, en période de pénitence.
De fait, écrire au bas de ce genre de blog… c'est aussi efficace que si un vegan me déposait des mots doux dans ma boîte aux lettres pour me convaincre de ne manger que du steak de haricot.
On va encore crier au mégalo, ben tant pis : j'ai un ami qui avait sa chronique dans un grand hebdomadaire en ligne, et qui a cessé en raison des saletés que les commentaires déposaient. Nul n'est obligé de les lire, mais le principe même de pouvoir répondre à une plume est en soi discutable. L'anonymat entretient le défouloir. Quand je me suis inscrit ici, je me suis calqué sur le maître des lieux, estimant que les initiales étaient la moindre des politesses et le moindre des courages. Les prêtres qui écrivent ici sous leur nom font preuve d'un grand courage à mes yeux, comme les rares laïcs. Je ne blâme nullement ceux qui veulent se préserver. On ne me verra pas davantage sur face de bouc ou tweeter... je laisse cela… aux mégalos n'est-ce pas.
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