des églises paroissiales désertées ou quasi-désertées, abandonnées ou quasi-abandonnées, surtout en zones rurales...Le clergé ordinaire est à peu près insensible à la personnalité et à l'histoire des églises dans lesquelles il vient ...une fois en passant et pressé d'en repartir.
Aucune ou peu d' attention au saint Patron, ni à la date de consécration de l'église s'il y a lieu. Et si quelque paroissien attentif rappelle le saint patron au jour de sa fête, c'est le dimanche "ordinaire" en ornements chlorophyle qui passe devant...
Le clergé de la forme extraordinaire fait-il mieux à l'égard des églises ou chapelles dans lesquelles il officie ? On peut poser la question.
Il y a une lacune à l'égard de l'aspect géographique ou localiste du fait religieux. Et à l'égard des saints patrons des églises ou des saints issus du lieu ou qui y sont vénérés de temps immémoriaux. Une habitude ou une lacune qui tendent à couper des racines et effacer les mémoires...L'Eglise est-elle aussi anonyme et vagabonde ?

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