Le cardinal Bergoglio a rallié au bout de quelques scrutins les voix qui s'étaient portées sur son maître et inspirateur néo-jésuite, feu le cardinal Carlo Maria Martini.
Très vite il était apparu que la minorité alors néo-catholique martinienne (Saint-Gall ensuite) n'attendrait pas le chiffre voulu pour un blocage durable.
Le ralliement sur le nom du cardinal argentin n'avait pas suffi.

Celui-ci a alors déclaré ne pas vouloir être élu selon les témoins ayant rapporté les principaux faits du conclave de 2005.

C'est pourquoi on ne pensait plus à lui - à tort ! - en 2013 puisqu'il avait fait cette renonciation en 2005. Entre temps, Martini était mort.

La division des "Wojtyliens-ratzinguériens" en diverses sous-chapelles et le poids de Vatileaks - n'oublions pas cette atmosphère créée de rejet de l'héritage wojtylien-ratzinguérien considéré comme parangon de corruption en matière sexuelle et financière (!!! on a vu ensuite que ce n'était rien par rapport au triomphe de Sodoma) -, cet éparpillement a ouvert la voie au candidat de Saint-Gall qui discrètement avait été préparé à cette fois accepter la "tiare".

Et voilà, après les échecs accumulés par Benoît XVI, comment l'Église catholique romaine se trouve reconfigurée en Sodoma et plongée dans la boue païenne de l'Amazone. Comment nous nous retrouvons en Seconde Pornocratie tous les oriflammes déployés sans plus de honte.
Mais qui suis-je pour juger ?
Et si Jésus ne savait pas qu'il était Christ alors ...

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