On pourrait le penser puisque François indique (dans une meilleure traduction) :
Après le premier Concile du Vatican, par exemple, lors du dernier vote, celui sur l'infaillibilité, un groupe de taille considérable est parti et a fondé l'Église Vieille-Catholique afin de rester «fidèle» à la tradition de l'Église. Puis ils ont évolué différemment et maintenant ils ordonnent des femmes. Mais à ce moment-là, ils étaient rigides, ils se réclamaient de l'orthodoxie et estimaient que le concile s'était trompé.
Donc les rigides Vieux-Catholiques des origines ont cessé d'être rigides puisqu'ils ordonnent maintenant des femmes. Est-ce un progrès ? Il ne le dit pas explicitement mais ça reste ambigu et on pourrait le déduire sans qu'on puisse nous accuser absolument de trahir ses propos. C'est le résultat de son utilisation à tort et à travers de ce concept de rigidité dont il semble faire l'élément principal de sa grille de lecture théologique : pour François, il n'y a que deux sortes de croyant : les rigides, qu'il exècre, et les "souples", qu'il embrasse.
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