Le Vatican et une grande partie des grands sièges épiscopaux métropolitains sont occupés par des prélats qui sont à la fois des corrompus, des dépravés, et des apostats.
Car il est évident que tous les monsignori et les cardinaux qui mènent une double vie à Rome et ailleurs n'ont plus la foi catholique.
Le prochain pape sera probablement pire que Bergoglio.
Dieu s'est retiré de cette Eglise apostate qui compose avec le monde et qui lui tourne le dos (à commencer dans les célébrations avec la messe "face au peuple") et qui refuse de mettre l'ascèse, la contemplation et l'écoute de la Parole divine au sommet de la hiérarchie des valeurs.
Dès lors, elle n'est plus qu'une immense coquille vide, une immense bureaucratie sans âme, livrée aux ténèbres de péché et du vice.
Mais la véritable Eglise, l'Eglise du Christ, n'est pas une bureaucratie, ne réside pas dans des structures, ni dans des organisations formelles.
Elle est un mystère. Elle réside et demeure dans le coeur des quelques fidèles, simples prêtres, laics, moines, religieux, et quelques rares évêques, qui n'ont pas perdu la foi, et qui vivent en accueillant dans leur vie le divin Mystère. Dans la simplicité, l'anonymat et le silence. Dans la fidélité à la Parole divine.
Car nous sommes bien, pour Dieu, la bonne odeur du Christ parmi ceux qui se sauvent et parmi ceux qui se perdent; pour les uns, une odeur qui de la mort conduit à la mort, pour les autres, une odeur qui de la vie conduit à la vie. Et de cela qui est capable? Nous ne sommes pas en effet comme la plupart, qui frelatent la Parole de Dieu; non c'est en toute pureté, c'est en envoyés de Dieu que, devant Dieu, nous parlons dans le Christ. (Cor., 2, 15-17)