Anne McGinn Cillis, une Canadienne et une fille spirituelle du Padre Pio, a raconté une histoire concernant le Padre Pio et les modes des femmes. Dans son livre, Arrivederci Padre Pio: «A spiritual Daughter Remembers», Mme Cillis raconte:
“J’ai eu l’occasion en avril 1963 d’interviewer, à San Giovanni Rotondo, une Canadienne, Italienne de descendance et parlant couramment sa langue maternelle, à qui le Padre Pio avait refusé l’absolution en confession parce qu’elle vendait des pantalons et des ensembles de pantalons dans son magasin de linge à Vancouver.
“Il lui ordonna de retourner chez elle au Canada et de liquider tout ce stock et de ne pas donner ces articles aux gens qui voudraient en porter, et si elle voulait son absolution, elle pourrait revenir en Italie et la recevoir, seulement après qu’elle aurait exécuté sans regret ses ordres.
“Elle avait une autre alternative: elle pourrait chercher à recevoir l’absolution dans une autre confession, de retour au Canada, mais, lui, le Padre Pio devait être mis au courant si elle avait fait ce qu’il lui avait été dit.”
… Elle était abasourdie par les paroles du Padre Pio, mais ensuite elle décida à faire ce qu’il lui avait ordonné. En effet, elle exécuta avec une détermination vigoureuse les instructions du Padre Pio. Dans son livre, Mrs. Cillis mentionne que le Padre Pio était aussi ferme au sujet de la modestie pour les hommes et les garçons, mais qu’il était «spécialement inflexible pour le port des pantalons ou des shorts pour les dames».
Le saint Padre Pio refusa aux femmes l’accès au confessionnal si leurs robes étaient trop courtes. Sur la porte de l’Église, il y avait ce message:
«Selon un désir formel du Padre Pio, les dames doivent entrer dans son confessionnal avec des jupes à au moins huit pouces en bas des genoux. Il est interdit d’emprunter des jupes longues dans l’église pour pouvoir aller à confesse.» Dorothy Gaudiose, Prophet of the People: A biography of Padre Pio.
Selon une réflexion d’un auteur, alors que les dessinateurs de mode avaient monté les jupes à huit pouces au-dessus des genoux, le Padre Pio avertissait les dames de garder leurs jupes huit pouces au-dessous des genoux.
Le Padre Pio ne tolérait pas de robe dont le décolletage était plus bas que le cou ou des jupes courtes, collantes, et il interdisait à ses filles spirituelles de porter des bas transparents. À chaque année, il était plus sévère. S’il jugeait les dames indécemment vêtues, il les congédiait obstinément de son confessionnal avant qu’elles y mettent les pieds. Certains matins, il en chassait une après l’autre, jusqu’à ce qu’il finisse par entendre seulement quelques confessions.
Ses frères ont observé ses purges drastiques avec un certain malaise et ont décidé d’installer une affiche sur la porte de l’église:
‘Par un désir explicite du Padre Pio, pour entrer au confessionnal, les dames doivent porter une jupe au moins huit pouces au-dessous des genoux. Il est interdit d’emprunter des jupes longues à l’église et de les porter pour aller au confessionnal.” Dorothy Gaudiose, “Prophet of the People: A biography of Padre Pio», Impr., Alba House, Staten Island, 1974, p. 191
http://www.versdemain.org/articles/eglise-catholique-romaine/item/le-padre-pio-elevait-l-etendard-de-la-modestie
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