Il est décevant. Il semble trop préoccupé par le souci d'éviter le clash avec ses interlocuteurs. Ça peut se justifier, jusqu'à un certain point, dans une perspective apologétique (mettre en valeur la part de vérité toujours présente dans l'erreur afin de créer un contexte favorable au discernement ; établir un consensus, quelque tenu soit-il, afin de s'y appuyer pour ébranler l'erreur chez un adversaire décontenancé par l'improbable convergence qu'il découvre) mais là, il va trop loin, il rend inaudible la radicalité de l'opposition entre l'anthropologie du monde et celle de l'Évangile. J'essaie de prendre au second degré son allusion à la miséricorde bergoglienne qui excuserait Rachel Lambert, mais ça passe mal.
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