Le cas de Vincent Lambert avec la volonté médicale de sédation ne devrait pas faire débat chez les catholiques.
En revanche chacun est ramené au questionnement sur la bonne mort. Jusqu'où allons nous pour faire ce que le Père veut ? Quel est le niveau de l'intervention humaine où l'on ne retarde pas le rappel à Dieu, malgré Lui ?
Jean-Paul II a donné des éléments de réponse, mais les progrès de la médecine sont tels que tout n'est pas si simple dans tous les cas (sans parler d'euthanasie bien sûr). On peut prolonger des agonisants un certain temps en hopital, ou les laisser chez eux dans leur lit de mort. Vouloir une bonne mort n'est pas forcément avoir une pensée suicidaire. L'abandon à la volonté de Dieu dans notre religion compte. Ce n'est pas facile d'y voir clair, car les progrès de la médecine sur ce point posent de nouvelles questions.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !