Au moment où j'ai écrit cette phrase, je me trouvais à quelques dizaines de mètres de la cathédrale, de l'autre côté du petit bras de la Seine. J'avais sous les yeux le spectacle saisissant de ces immenses flammes léchant tout le haut de l'édifice et venais de voir la flèche de Viollet-le-Duc s'effondrer.
Un tel spectacle, aussi catastrophique soit l'événement, a quelque chose de fascinant. Si la comparaison avec Néron m'est venue, c'est que j'avais en tête la scène (sans doute légendaire) de celui-ci déclamant des vers devant Rome en flamme.
Il n'y avait aucun parallèle avec Macron, ni de fantasme sur un incendie organisé en haut lieu.
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