Je comprends mal, pas du tout, votre post et sa question.
Vous savez bien que des procédures sont en cours dans différents états : cela ne dépend pas de l'Église en dépit d'un item du Syllabus qui condamne nos deux positions en plaçant le droit canonique et l'immunité de tout clerc au-dessus de la loi de l'État.
C'était déjà hilarant en 1864 comme prétention alors en 2019 ... vous comprenez pourquoi la position des très rares Syllabusiens intégraux m'a toujours fait sourire par son aspect Alice au pays des merveilles.
Non que tout soit caduc dans le Syllabus, plusieurs thèses condamnées le sont de façon logique et applicable. Sur la question éducative par ex., le magistère conciliaire et post-conciliaire est en continuité.
La question n'est pas au plan de la justice laïque : elle est et suivra son cours.
La question est du sommeil de la justice canonique, de rang inférieur certes en dehors de la Cité souveraine du Vatican, mais nécessaire.
Pour le cas du Père Preynat, comment a-t-elle pu rester au congélateur du temps des prédécesseurs du Cardinal ?
Concernant la prescription, telle était la décision du procureur de la République qui avait statué en ce sens. Ce n'est ni le cardinal Barbarin ni personne d'autre que la personne en charge des poursuites. La citation à comparaître a permis de contourner ce point essentiel.
Mais si le procureur ayant statué a eu tort, il devrait alors faire l'objet d'une procédure disciplinaire pour grave incompétence.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !