Je laisse de côté "la parole libérée" et nos bons amis de Golias qui poursuivent une vengeance ad hominem sans s'être vraiment préoccupés des vrais responsables, les archevêques au temps des faits, ceux qui n'ont pas jugé bon de porter plainte en temps et en heure.
L'aspect idéologique est le plus gênant dans ce combat pour une juste cause certes mais combat tardif et teinté de ces motivations parasites.

Le Pape et le Cardinal ont pris la juste décision, respectueuse des deux exigences comme les pointent Mgr Pontier.

Par ailleurs quand un évêque est malade, c'est ce qui arrive. Ce n'est donc sûrement pas si "inédit" que cela ...

Je pense comme M. Devaux que le Pontife romain régnant aggrave terriblement la situation de l'Église par ses choix pastoraux, d'hommes calamiteux (McCarrick, Maradiaga, Farrell, Coccopalmerio, Cupich, James Martin, Thomas Rosica, le "pasteur zélé" feu Danneels, Barros le prédateur chilien, Zanchetta l'Argentin sur vidéo et abuseur de séminaristes ... on y arrive plus la liste est si longue) mais en l'occurrence, dans le cas de Lyon, le Pape a eu raison de reporter cette démission qui n'a pas de sens que démagogique tant que la justice n'a pas statué en appel sur un cas qui en droit soulève beaucoup de légitimes questions de la part des juristes.

Au demeurant, il est assez cohérent avec sa politique : Wuerl le "modèle" est toujours administrateur apostolique de son diocèse symbolique malgré avoir reçu le titre de Champion du cover-up des prédateurs sexuels en Pennsylvanie pour 18 ANS !
Pas sur un cas supposé et pour peu d'années comme ce qui est reproché par le 1er jugement au cardinal Barbarin...

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