Aujourd'hui, il est question du procès d'un prêtre qui demande, à bon droit, réparation des accusations fausses portées par des parents, au diocèse de Châlons.
Mais le mal est fait.
Si l'évêque n'avait rien dit, on aurait dit qu'il couvrait d'éventuels faits.
Les rumeurs vont vite et cet évêque n'a pas dû nommer le prêtre de gaieté de coeur. On n'est pas à Orléans.
Si j'étais accusé de la même chose, ce n'est pas la justice qui me rendrait mon honneur. Le mal serait fait. Alors un prêtre... Nos deux prêtres suicidés n'ont pas supporté. Et même si un prêtre était coupable et que son for intérieur lui impose de le reconnaître, ce n'est pas une raison pour approuver son suicide le cas échéant. La miséricorde là-dedans ? Elle doit aussi s'appliquer à ces prêtres, ensuite, l'Eglise avait autrefois ses tribunaux et ses punitions à des degrés divers.
Quand je pense ce que la papauté a fait, avec l'appui de certains évêques français, des militants et des lecteurs de l'Action Française...
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !