Confronté à plusieurs cas autour de moi, dans le milieu catho-chic "ordinaire", c'est à chaque fois le même schéma :
La génération des plus de 60 ans sont des piliers de paroisse, mais à la foi très molle et relativiste.
Leurs enfants, la génération des 30-45 ans, pour moitié ne pratiquent plus, l'autre moitié donnant l'impression ("mais qui suis-je pour juger ?"), quand on discute avec eux, de pratiquer juste par habitude sociale et tradition familiale, car "chacun sa religion", et "ce qui est beau étant d'aider chacun à grandir dans sa tradition religieuse".
Bref, quand malheureusement, ce qui est la suite logique (avec en plus le côté "cool" de François sur ce sujet), des divorces surviennent, que les mariés le soient religieusement, ou simplement laïquement, cela ne gêne plus personne que la séparation se fasse, "puisque l'amour n'est plus là", mais surtout que le séparé (qui souvent n'est même pas encore divorcé civilement) se remette avec quelqu'un.
Mais que dire quand le "divorcé" va très mal, et qu'apparemment se remettre avec quelqu'un semble lui éviter de commettre l'irréparable sur soi-même ?
Un grand merci à tous ceux qui ont des conseils avisés, et "catholiquement correct", et bonne et sainte année à tous.
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