de celui qui ignore tout de la Foi et de la morale, il ne peut y avoir d'accès à la communion, car il n'est pas catholique.
Mais dans le cas contraire, c'est-à-dire lorsqu'une personne a la Foi et commence à comprendre le problème que posent son divorce et son remariage, quelle piste lui propose-t-on pour sortir de cette situation?
La question est délicate.
L'idée -dangereuse j'en conviens- est que l'imputabilité actuelle des actes passés peut être limitée compte tenu de l'ignorance et des éventuels conditionnements passés ainsi que du fait que les contraintes circonstancielles actuelles peuvent être telles que la marge de manœuvre est en pratique limitée ou inexistante pour en sortir totalement (abandon du remariage)... La confession et l'absolution, sans que le divorcé remarié ne rompe complètement avec son état, deviennent alors possible ainsi que, par voie de conséquence, l'accès à la communion.
Tels sont les termes du débat.
Tout s'articule autour de la notion d'imputabilité...
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