En effet, la mère en question, médecin de son état , a pu formuler une décision personnelle, éclairée par ses connaissances médicales.
Prenons le cas d'un accouchement qui se présenterait mal. La mère inconsciente ou hors d'état de formuler un avis en pleine conscience, la décision incomberait à un tiers, médecin ou proche. Dans ce cas ce n'est plus la personne dont la vie est en jeu qui décide. Que recommande l’Église?
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