Je vous remercie de vos précisions, mais je crois que j'avais bien compris les données de la question.
Là, nous sommes vraiment dans un autre monde que le nôtre.
Tout dépend. En Orient que j'ai connu un peu à une époque plus propice, c'est toujours ainsi.
Mais pas seulement en Orient.
Dans certains de nos villages en Allemagne, dans l'arrière-pays bien sûr, un peu reculés, pas dans les villes ou les agglomérations, il est de mise, obligatoirement, d'inviter si pas tout le village, au moins les voisins directs à la fête, à côté de la famille et des amis. Le contraire serait très mal vu.
Une telle fête (souvent en plein air, en été bien entendu, nous avons un beau climat continental par endroits) comporte facilement bien plus que les 120 personnes mentionnées dans cette histoire américaine. Certes ce ne sont pas, sauf exception, des mariages "princiers", même pas baroniaux, mais souvent bien noblement organisés et surtout amplement arrosés, sans miracle bien entendu.
Je le sais bien pour avoir été invité déjà, par des époux de ce type, pour être leur voisin, même si j'y réside seulement quelques fois par an.
Je parie qu'aux États-Unis (le cas qui nous occupe ici) cela peut être pareil.